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Antabuse ® (alfantropin) sans ordonnance
Antabuse® est un médicament contenant l'alfentanil (alfanil). Il contient moins de 10% de lactose, il est exempt de gluten et de lécithine.
Les comprimés d'Antabuse sont utilisés pour traiter la dépendance à l'alcool. L'alcool est connu pour ses effets destructifs sur le système nerveux et l'organisme en général. Ce médicament est utilisé dans le cadre d'une désintoxication du foie et du système nerveux et peut être pris par des personnes souffrant de dépendance à l'alcool.
L'alcool est une substance psychoactive qui se manifeste par une sensation de bien-être et de plaisir. Les consommateurs boivent de l'alcool pour se détendre et passer un bon moment. Toutefois, l'alcool est nocif et peut également provoquer des blessures graves ou la mort. Il est donc important de savoir comment l'alcool affecte le corps et comment les médicaments peuvent aider.
L'alfentanil est un dérivé de l'alfa. Il agit en inhibant l'enzyme alpha-amino-3-hydroxy-7 alpha-méthyl-41 stéroïdérone. Cette enzyme est responsable de la dégradation des substances comme l'alcool et les benzodiazépines dans le cerveau. Elle est essentielle pour une meilleure absorption et une meilleure élimination des substances de l'organisme, telles que le sucre et l'alcool.
L'alfentanil est utilisé dans le traitement de la dépendance à l'alcool. Il est commercialisé sous forme de comprimés à prendre par voie orale. Les comprimés sont généralement pris une heure avant le début d'une fête, d'une réunion ou d'une occasion particulière. Les comprimés d'Antabuse ne sont pas adaptés pour les patients souffrant d'hépatite ou de VIH, qui sont connus pour leur sensibilité accrue aux antagonistes des récepteurs de l'alfentanil. Dans le traitement de la dépendance à l'alcool, les comprimés sont généralement pris au début de la consommation d'alcool pour permettre au corps de s'adapter au médicament et à ses effets.
L'alfentanil agit en inhibant l'enzyme alphaamino-3-hydroxy-7 alpha-méthyl-41 stéroïdérone, qui est responsable de la dégradation de l'alcool dans le foie. Cette enzyme est essentielle pour une meilleure absorption et une meilleure élimination des substances de l'organisme.
L'alfentanil est utilisé dans le traitement de la dépendance à l'alcool et ne doit être utilisé que sous la surveillance d'un médecin expérimenté dans la gestion de la dépendance à l'alcool.
Les comprimés d'Antabuse sont contre-indiqués pour les personnes qui souffrent de dépendance à l'alcool ou à d'autres drogues et pour les patients présentant des risques de problèmes cardiaques ou de troubles du foie. Les comprimés ne doivent pas être pris par les personnes qui sont enceintes ou qui allaitent et par les patients souffrant de problèmes hépatiques ou rénaux. Le médicament est également contre-indiqué chez les personnes qui prennent d'autres médicaments qui peuvent altérer les fonctions hépatiques ou rénales.
Antabuse® ne doit pas être pris en même temps que des médicaments qui augmentent le risque de développer des caillots sanguins tels que les anticoagulants oraux (par ex. la warfarine), les contraceptifs oraux (par ex. la pilule) ou le dabigatran, car cela peut entraîner des saignements excessifs. Les patients traités par des médicaments qui augmentent le risque de développer des caillots sanguins doivent être surveillés de près pour détecter tout signe de saignement.
L'alfentanil peut interagir avec de nombreux médicaments et compléments alimentaires. Il est conseillé de signaler les interactions médicamenteuses potentielles et de suivre les recommandations de votre médecin ou de votre pharmacien. L'alfentanil ne doit pas être pris en même temps que des médicaments qui augmentent le risque de développer des caillots sanguins tels que les anticoagulants oraux (par ex.
Les effets secondaires les plus courants d'Antabuse® sont les suivants:
La prise en charge thérapeutique est réalisée dans un contexte d’urgence en se basant sur les objectifs des patients, le risque de complication et sur les modalités de l’arrêt des analgésiques (tableau 2). L’évolution des techniques de surveillance est également prise en compte pour adapter la prise en charge thérapeutique.
La posologie de la morphine sera diminuée par paliers successifs de 20 % tous les 3 à 5 jours en fonction du risque opératoire. La surveillance de la douleur ne sera faite qu’avec de la morphine ou du buprénorphine. Si le risque de complications est élevé, il est recommandé d’arrêter immédiatement la morphine ou le buprénorphine. Un arrêt brutal de la morphine ou du buprénorphine augmente le risque de complications. Les antalgiques opioïdes doivent être utilisés de manière graduée. La durée du traitement est de 24 à 48 heures.
Les analgésiques antagonistes de la morphine tels que la nalbuphine ou la buprénorphine n’ont pas d’intérêt en situation postopératoire et ne doivent pas être utilisés.
Le recours à l’analgésie contrôlée par le patient (AVP) sera envisagé en fonction de l’état clinique du patient, des risques et de la tolérance au traitement.
Il s’agit d’un analgésique opioïde fort : 100 mg 3 fois par jour en une prise.
L’arrêt du tabac est recommandé pendant et après l’intervention.
L’arrêt du tabac permet d’éviter la prise de naloxone et le risque de complication lié à l’utilisation d’opioïdes.
Une surveillance est recommandée en fonction de la tolérance au traitement.
La reprise des activités est envisageable dans les 3 à 5 jours suivant l’intervention.
Les posologies sont basées sur les recommandations françaises de l’ANAES (agence nationale d’autorisation de l’arrêt de la prise de médicaments en France).
Il faut différencier la prise de courte durée de la prise à long terme des autres antiépileptiques tels que la phénytoïne et la carbamazépine. La prise à long terme de morphine ou de buprénorphine est déconseillée en raison de la potentialisation à long terme de ces deux médicaments.
Les antiémétiques sont utilisés pour prévenir la nausée. La dose de 10 mg est indiquée tous les 3 à 6 heures pendant les 3 premiers jours. Si la douleur est importante, on peut augmenter la posologie à 20 mg ou 30 mg.
Ces médicaments peuvent être donnés pendant 3 jours. En cas de nausées, de vomissements et de douleurs importantes, ils peuvent être prolongés 2 à 3 jours. Ils ne doivent pas être pris en continu.
La prise d’anti-inflammatoires non stéroïdiens est déconseillée en raison de la potentialisation à long terme de ces médicaments. En cas de douleurs intenses, une augmentation de la dose à 40 mg/j pendant les 3 premiers jours peut être envisagée.
La prise de ces médicaments ne doit pas être prolongée au-delà de 3 jours.
La prise de sédatifs n’est pas indiquée.
L’utilisation de ces médicaments n’est pas recommandée en raison de leur potentialisation à long terme.
La prise de ces médicaments n’est pas recommandée en raison de la potentialisation à long terme de ces médicaments.
La prise de ces médicaments n’est pas recommandée en raison de leur potentialisation à long terme.
La prise d’antiémétiques est déconseillée en raison de la potentialisation à long terme de ces médicaments.
La prise de morphine est interdite.
La prise d’antalgiques opioïdes est déconseillée en raison de la potentialisation à long terme de ces médicaments.
La prise de ces médicaments est déconseillée en raison de la potentialisation à long terme de ces médicaments.
La prise d’anti-vitamines K n’est pas recommandée en raison de la potentialisation à long terme de ces médicaments.
La prise d’antibiotiques à spectre large n’est pas recommandée en raison de la potentialisation à long terme de ces médicaments.
La prise d’antibiotiques à spectre large et autres médicaments à spectre large n’est pas recommandée en raison de leur potentialisation à long terme.
La prise d’antibiotiques à spectre large et autres médicaments anti-infectieux n’est pas recommandée en raison de la potentialisation à long terme de ces médicaments.
La prise d’antipsychotiques est contre-indiquée en raison de leur potentialisation à long terme.
La prise d’antalgiques opioïdes est contre-indiquée en raison de leur potentialisation à long terme.
La prise d’antipsychotiques et autres médicaments antidépresseurs n’est pas recommandée en raison de leur potentialisation à long terme.